Auteur - Jean-Louis Lascoux

La Théorie de l’Ajustativité Générale – TAG : vers une nouvelle compréhension du monde

On a souvent dit que votre cerveau fonctionne selon des modes prédictifs… et si c’était faux ? En réalité, votre cerveau interagit seulement comme un autodidacte de l’ajustement immédiat.

Depuis bientôt 30 ans, j’ai engagé une réflexion pour mieux comprendre les phénomènes relationnels, sous toutes les formes. Pendant tout ce temps, j’ai établi des liens entre les différents domaines de connaissances. C’est ainsi que j’ai conçu plusieurs modèles. La géométrie m’a servi de moyen de structuration, avec une figure très simple, mais qui l’emporte en complexité, puisqu’elle se définit comme un dodécaèdre-tétraèdre fractal (DT-Fractal®). Grâce à cet instrument, j’ai élaboré des processus, façonné des techniques, développé des outils et des méthodes, initié une profession, celle de médiateur. J’ai imaginé un nouveau paradigme avec un référentiel culturel, celui de la qualité relationnelle et l’ingénierie systémique relationnelle®. Enfin, j’en suis revenu à ma réflexion initiale sur la représentation du temps et de ses imbrications avec la conscience. Au fil de ce cheminement, une évidence s'est imposée : les phénomènes que j'observais relevaient tous d'une dynamique d'ajustement immédiat. Le modèle systémique des interactions en communication est devenu la base de l’ensemble des méthodes, techniques et processus que j’ai conçus qui ont permis à des milliers de personnes de mieux structurer leurs pensées et à un grand nombre de faire face aux phénomènes conflictuels qu’au mieux elles géraient et que désormais elles ont pu résoudre.

Face aux limites des modèles prédictifs, mettez-vous en décalage !

Maintenant, directement inspirées de mes expériences et enseignements, j’ai clarifié des théories. Ces théories sont alignées sur un grand principe, celui de l’ajustement constant. Elles viennent prendre la suite des conceptions associées aux modèles prédictifs, appuyées sur l'anticipation des événements à partir de probabilités et de données passées. Quoique ces modèles ont contribué à faire progresser des pratiques, en réalité, ils ne sont que des échos des conceptions ancrées dans la pensée binaire, très présentes dans les cultures du monde. Certes, la théorie du cerveau bayésien qui découle de la culture probabiliste, a pu permettre de faire des avancées par le principe des vraisemblances, des potentialités, de la mesure des approximations statistiques.

De fait, les modèles prédictifs sont efficaces pour les systèmes fermés et répétitifs, mais ils échouent dès lors que les dynamiques impliquent des incertitudes multiples et des interactions humaines complexes. Ils sont d’autant plus fragiles qu’ils se fondent sur des croyances où la rationalité s'égare totalement. L’exemple de la “gestion des conflits” (je dirais “résolution des différends”) ou les ajustements relationnels nécessitent des régulations immédiates qui ne peuvent pas être anticipées avec précision, est facile. Il en est d’autres plus complexes en physique, biologie, informatique, production d’énergie ou sciences sociales. En matière de décision, le système probabiliste a montré bien des fragilités et de graves limites. La pensée d’Henri Poincaré (1854-1912) a pourtant été claire : “On fait la Science avec des faits comme une maison avec des pierres ; mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison.” et inspirante : il faut un ensemble de preuves pour identifier un coupable, mais un ensemble de preuves ne font pas une culpabilité. Pourtant, combien de décisions sont prises au nom des probabilités et du principe de précaution qui les justifie ?

En fait, la modélisation de la prédictivité n’a apporté qu’une touche scientifique à ce qui était affirmé dans l’approche morale ; c’est d’ailleurs son premier défaut qui est lié à un biais cognitif, celui de la temporalité contextuelle, qui fait obstacle à une nouvelle compréhension. Elle s’est infiltrée et ancrée partout. Avec cette universalité, elle est devenue une source de références avec désormais des arguments qui font autorité.

Cependant, c’est une nouvelle conception que je viens proposer face à l’idée de mécanismes prédictifs du cerveau, la Théorie de l'Ajustativité Générale - TAG. Cette approche innovante lève les obstacles. Elle met l'accent sur l'adaptation dynamique, ce qui ouvre de nouvelles perspectives pour expliquer les phénomènes complexes et imprévisibles dans tous les domaines où le modèle prédictif rencontre des limites.

Cette théorie ne se contente pas d'apporter des nuances : elle redéfinit les fondements de notre compréhension du monde. Elle fait reposer les représentations des individus, des relations interpersonnelles, des relations organisationnelles et des interactions cosmiques. Tout cela peut sembler un peu trop, mais n’est-ce pas le cas de la prédictivité qui interfère partout, sans forcément que ce soit clairement énoncé ? C’est donc un modèle entier qui est à repenser.

L'ajustement immédiat : une nouvelle logique adaptative

La TAG repose sur le principe selon lequel les phénomènes complexes émergent de multiples ajustements dynamiques immédiats, plutôt que de modèles linéaires prédictifs.

Les exemples concrets ne manquent pas : un conducteur sur une route de montagne n'anticipe pas à l'avance chaque virage. Il ajuste sa vitesse et sa trajectoire en fonction des conditions visuelles et physiques qu'il perçoit à l'instant présent. La prédictivité, c'est a posteriori. L’adulte qui marche a été un enfant qui a chuté avant que son cerveau sache anticiper et prédire des mouvements. Il a appris. Les joueurs de ping-pong ajustent leurs reprises de balle, revers et smash. Ils mobilisent simultanément leur vision périphérique, leur coordination motrice et leur capacité d'anticipation immédiate. Chaque coup implique une régulation constante de la posture, de la vitesse et de l'angle de frappe, dans une dynamique où l’ajustement en temps réel prime sur toute tentative de prédiction rigide. Chaque mouvement est une réponse aux variables du jeu, intègre l’imprévu et les subtilités stratégiques adverses et illustre le principe d’ajustativité.

L’explication de la prédictivité est celle de l’apprentissage. Ainsi, le cerveau ajuste en permanence ses connexions et ses schémas cognitifs au fur et à mesure qu'il reçoit de nouvelles informations. L’ajustement immédiat repose sur la capacité neuronale à mobiliser simultanément les modalités de traitement de l’information. Cette mobilisation immédiate systémique permet les ajustements dynamiques qui répondent à l’imprévu en temps réel.

Des concepts fondateurs : la TCC-HA et la T.AJT

La TAG s'appuie sur deux modèles clés :

  • La Théorie du Cerveau Corrélatif et de l'Harmonisation Ajustative (TCC-HA), qui explique comment les processus cognitifs s'ajustent dynamiquement en fonction des expériences immédiates, sans recours exclusif à des mémoires de long terme ou à des modèles prédéfinis.
  • La Théorie de l'Ajustement Temporel (T.AJT), qui redéfinit le temps non plus comme une ligne continue et uniforme, mais comme une superposition dynamique d'états temporels en perpétuel ajustement.

Ces concepts apportent une vision nouvelle du cerveau, du temps et des interactions humaines. Ils introduisent une forme de plasticité temporelle comparable à la plasticité neuronale.

Des applications concrètes dans de nombreux domaines : ça va décoller…

La TAG ouvre des perspectives novatrices dans divers champs d'application :

  • Neurosciences : à commencer par le monde neuronal. En reconnaissant que le cerveau ajuste en permanence ses circuits neuronaux, elle renouvelle la compréhension de la plasticité cérébrale et de la cognition adaptative. Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes réussissent à réguler rapidement leurs émotions ou à s'adapter à des situations inattendues.
  • Physique : le décollage peut prendre une autre forme. La TAG remet en question la perception d’un temps linéaire et uniforme. Elle ouvre des perspectives sur les champs gravitationnels, les interactions énergétiques et les phénomènes quantiques. Plutôt que de modéliser les forces comme des relations fixes, la TAG les conçoit comme des corrélations dynamiques qui s'ajustent en fonction du contexte.
  • Sciences sociales et management: la TAG propose une alternative aux modèles d'organisation linéaires. Elle offre des clés pour intervenir lors de situations de crise. Plutôt que des schémas de gestion des changements et des différends, elle préconise des ajustements relationnels dynamiques.
  • Intelligence artificielle : les algorithmes inspirés de l'ajustement immédiat peuvent rendre les systèmes plus réactifs, notamment dans les contextes à forte incertitude.

Vers une nouvelle ère scientifique

La TAG marque une transition décisive dans notre manière d’appréhender les phénomènes complexes. En mettant l'accent sur l'ajustement immédiat plutôt que sur la prédiction linéaire, elle introduit une nouvelle manière d'expliquer les processus cognitifs, temporels et sociaux. Evidemment, je ne peux qu’être conscient de ce que j’invite à remettre sur la table des opérations scientifiques. Mais cette invitation pourrait bien paraître suffisamment stimulante pour que le scalpel intellectuel de quelques-uns se mette à la dissection et permette d’envisager les vastes actualisations de l’ajustativité.

Ainsi, l'avenir ne sera pas prévu : il sera ajusté. Il peut bien s’agir là d’une révolution épistémologique qui, dans les années à venir, en viendra à redéfinir notre manière de comprendre le monde.

Si vous en souhaitez plus… n'hésitez pas à me l’indiquer… dans tous les cas, en théorie, tout est possible et ça peut se vérifier en pratique.


  1. Etude systémique des interactions en communication https://www.etudesic.com/
  2. EPMN.fr
Lire la suite...

Faire face à la détérioration relationnelle en entreprise

Vous n'y prêtez pas forcément attention quand une relation se dégrade, mais les conséquences peuvent être dramatiques. Les Médiateurs Professionnels habilités QRT par l'EPMN sont formés à ce référentiel. Ils maitrisent les techniques et outils pour travailler la qualité relationnelle. Ils ne font pas de la "gestion de conflit" : ils identifient les facteurs de la dégradation des relations et savent faire un travail de transfert pédagogique.
La qualité relationnelle est ainsi associée aux pratiques les plus opérationnelles dans le champ des relations humaines. Elle est issue de l’ingénierie relationnelle. C’est une exclusivité des formations de l’EPMN, dont le creuset est le CREISIR…
La qualité relationnelle concerne autant la pédagogie que le management, la culture d’entreprise, l’accompagnement des changements que la conduite des projets, le dialogue social, la responsabilité sociétale, l’éthique, les relations clients-fournisseurs. Dans la représentation de la culture d’entreprise et de la régulation des comportements, la qualité relationnelle outille des savoir-faire et quand les choses se compliquent, le DMPI est encore une instrumentation interne à l’entreprise.
Les intervenants spécialisés et exclusifs de la QRT sont les Médiateurs Professionnels habilités formateurs par l’EPMN. Ils sont membres de la CPMN ; c’est ainsi une garantie de la performance des professionnels de la QRT.
Le contenu de l’intervention se décline en 6 phases :
  1. 2 jours formation présentielle
  2. 1 jour de retour d'expérience
  3. suivi possible d'Ateliers de pratique APQR
  4. l'étude SIC. Elle est facultative mais facilitatrice avant la formation présentielle. Possible de la faire après la formation, mais elle est plus pédagogique avant. L'étude SIC est un outil qui permet d'aborder la thématique du potentiel de qualité relationnelle...
  5. Memento Qualité Relationnelle au Travail ; c'est le support de cours. Allez, j'envisage une version pour l'école : la QRE !
  6. Distanciel / Elearning : indissociable de la prestation globale. C'est un suivi post formation, avec vidéo, textes et questionnaires de validation des connaissances acquises par thématique.
Votre interlocuteur est exclusivement l’EPMN:
Tel. 05 56 92 97 47
Lire la suite...

Entente Sociale versus Contrat Social ?

Je vous propose une réflexion sur un changement de paradigme : passer du modèle juridique au modèle de la qualité relationnelle ; passer d'un modèle gestionnaire de l'adversité à un modèle de promotion de l'altérité ; passer du contrat et du contrat social au paradigme de l'entente et de l'entente sociale. Autrement dit aussi, passer d'une représentation des relations fondées sur des mythes : l'homme est bon ou mauvais ; à une représentation des relations fondées sur une réalité : l'homme ne sait pas.
En attendant mon ouvrage Dictionnaire de la médiation professionnelle et de l'ingénierie relationnelle (à paraître en juin chez ESF).
Pourquoi faut-il dépasser le modèle du Contrat et du juridisme ? Par les observations que j’ai réalisées, j’ai pu constater que l’Entente est indissociable de toute relation établie. J'en ai fait le paradigme de la Médiation Professionnelle et de l'Ingénierie relationnelle. Chacun peut faire le même constat : sans entente, pas de relation de confiance, pas de relation durable, pas d’organisation. L'entente est un préalable à tout contrat. L’entente puise sa dynamique dans la spontanéité relationnelle. Lorsque l'entente se détériore, la qualité relationnelle l’accompagne. Ce n'est pas le contrat qui se dégrade quand une relation ne va plus, c'est l'entente qui s'est détériorée. Ainsi, c'est une erreur, par une vue de l'esprit qui se trompe, que de chercher à résoudre un différend par l'interprétation du contrat, puisque celui-ci n'a subi aucune dégradation ; il faut en revenir à l'entente. C'est donc un changement de paradigme. L’entente est une condition d’un projet, même si elle ne conduit pas nécessairement à un projet. Elle se manifeste dans la vie quotidienne. Elle s’exprime quand, dans la rue, une personne demande à une autre son chemin. L'entente est présente quand nous discutons avec un inconnu et qu’après un moment agréable nous terminons la discussion sans demander à revoir la personne. Elle est dans l’échange avec le commerçant duquel on reçoit un conseil. Elle est en amont d’une volonté implicite ou explicite. L’entente n’en appelle pas aux éléments du droit. Elle est donc aussi au-delà de tout contrat et de l’affectio-societatis. L'entente est l'un des fondamentaux des relations. Elle est un des piliers du sens de la vie, avec l'altérité et l'usage de la raison. Un nouveau paradigme = une nouvelle profession Le contrat et, donc, le contrat social n'est qu'une conséquence d'une entente et pour bien vivre en société, ce qu'il convient de garantir n'est pas le référentiel du contrat, mais d'en revenir aux fondamentaux de l'Entente. C'est ainsi que les Médiateurs Professionnels (CPMN) sont en charge de soutenir l'instauration, l'entretien ou la restauration des conditions de l'entente, en vue d'aider les personnes à définir ou redéfinir leur projet relationnel - un conflit n'étant rien d'autre, dans son issue, qu'un projet relationnel clarifié. ____ Mots clés : médiation professionnelle, qualité relationnelle, ingénierie relationnelle, #QRT entente et entente sociale.
Lire la suite...

L’AFNOR s’intéresse à la Médiation professionnelle

Pourquoi le Groupe AFNOR s'intéresse-t-il à la Médiation Professionnelle ? Lors du Symposium de la Médiation qui s'est tenu à Lille l'année dernière (2017), M. Jean-Philippe CERRUTI, ingénieur Développement pour le groupe AFNOR, est venu dire aux Médiateurs Professionnels, pourquoi l'AFNOR s'intéresse à la médiation professionnelle. Les mutations sociétales qui s'opèrent en France et dans les pays industrialisés ne peuvent plus être abordées de manière technocratique, souligne M. J-P CERRUTI Le développement de la médiation professionnelle qui m'a conduit à l'identification des techniques d'ingénierie relationnelle et à définir la qualité relationnelle comme contribution réelle du médiateur professionnel, s'impose comme instrumentation adaptée à la poursuite du travail des ingénieurs AFNOR. L'ensemble des processus qualité sont à enrichir de cette approche à laquelle il apparaissait trop audacieux de s'intéresser voici encore quelques années. M. J-P CERRUTI s'est exprimé très clairement sur ce sujet. En voici le contenu vidéo de la discussion que j'ai eue avec lui lors de ce symposium : https://youtu.be/JkDYM8TwHuE?si=F9hHFo99CaUd1Kh4  
Lire la suite...

Le paradoxe du rétroviseur : la relation du Droit et de la Médiation Professionnelle

Accompagnement des avocats dans l'appropriation de l'ingénierie relationnelle appliquée en Médiation Professionnelle La question se pose parfois de savoir comment accompagner des professionnels exerçant des professions dont l'une des caractéristiques est d'être fondées sur un référentiel d'autorité. Ici, le monde juridique fait partie des premiers concernés. Par exemple, la profession d'avocat s'est déclarée vers la […] Lire la suite de cet article sur l'Officiel de la Médiation
Lire la suite...

Le besoin de médiation en Afrique passera-t-il par l’espace OHADA ?

L'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires – OHADA, a été créée en octobre 1993 par les gouvernements d'une dizaine de pays Africains. L'un des objectifs affiché était de contourner les effets de la corruption. L'ambition était de faire face aux multiples freins aux investissements et d'élargir l'influence d'une volonté commune de développement économique. […] Lire la suite de cet article sur l'Officiel de la Médiation
Lire la suite...

Foire de Paris : L’ingénierie relationnelle au service des visiteurs et exposants

Pour la 7ème année consécutive, les médiateurs professionnels sont à la Foire de Paris. Comme tous les ans, ce sont une trentaine de médiateurs professionnels et de médiateurs en formation qui se relayent pour intervenir sur les litiges, petits ou gros, qui surviennent entre les visiteurs et les exposants. Il est intéressant d'observer la dynamique […] Lire la suite de cet article sur l'Officiel de la Médiation
Lire la suite...

Profession médiateur : statistiques 2017/2018

La profession de médiateur est à part, mais ce sont des professionnels de l'intervention sur la qualité relationnelle instrumentés par l'ingénierie relationnelle. La reproductibilité des résultats démontre une professionnalisation des pratiques et des exigences professionnelles élevées. Il n'y a pas de profession sans professionnalisme, sans formation continue, sans éthique. La Chambre Professionnelle de la Médiation […] Lire la suite de cet article sur l'Officiel de la Médiation
Lire la suite...

L’ingénierie et la sécurisation relationnelle en médiation professionnelle

Le développement de la médiation professionnelle a permis de sortir la médiation des différends de la conception fataliste et conséquemment gestionnaire prônée au sein de l'environnement économique et judiciaire. C'est un nouveau paradigme. La médiation professionnelle est une discipline à part, et à part entière, qui offre l'apprentissage et la pratique de techniques d'ingénierie relationnelle […] Lire la suite de cet article sur l'Officiel de la Médiation
Lire la suite...

Un jour, un médiateur : Michel Thérin

Médiateur professionnel, ce n'est pas qu'un métier, ce sont des personnes avec leurs parcours particuliers, leurs aspirations. Les liens qui les fédèrent : la qualité relationnelle, un code d'éthique et de déontologie des médiateurs. Ce qui les rend unique c'est leur manière d'être, chacun à leur façon. Partez à la rencontre d'un médiateur ou d'une […] Lire la suite de cet article sur l'Officiel de la Médiation
Lire la suite...